Nouvelle vie ou presque [ Libre ]

Une fois son premier livre lu, Amalia chercha un autre livre et parcouru la bibliothèque de long en large, cherchant un livre qui piquerait sa soif de savoir. Et c'est parmi une rangée sombre et poussiéreuse qu'elle trouve un livre assez compliqué: Manuel de psychopathologie. Intitulé à l'air trés tentant, elle le dégagea lentement de la rangée pour ne pas l’abîmé et s'installe a une table non loin de la jeune fille pour lire.

(ah d'accord, mas avec le temps amalia est un peu paranoiaque)

( La pauvre, j'ai lus son histoire… :/) 

Après avoir asservit sa soif de Sang, le vampire sortit du livre parcouru les allées de la bibliothèque. Y avait-il quelqu'un d'autre ? Que cherchait-il ? 

Elahy interrompu son récit fort détaillé et regarda par la fenêtre. Elle attendant surtout de trouver l'inspiration pour la suite des évènements. Quelques pages avaient déjà été écrites suites aux nombreuses descriptions. Elle jugea peut-être bon de s'arrêter ici, par culpabilité. En effet, de nombreux devoirs l'attendaient et il serait plus sage de les terminer avant tout loisir. L'étudiante sortit donc livres et cahiers et essaya de se concentrer. 

Etant en avance sur ses devoir amalia s'accorda le loisir de lire son livre, la psychopathologie est une matière incroyablement riche en savoirs, peut être l'aidera t'elle a mieux comprendre les autres créatures et les humains notamment. Dans le domaine social on ne peu pas dire que AMALIA soit une trés bonne élève, c'est même une novice.

Elahy n'arrivait pas à se concentrer. Ce n'était pas nouveau, et même trop fréquent à son goût. Que faire…. La jeune femme releva le nez de sa SVT et tomba sur le titre du livre d'Amalia. "Manuel de Psychopathologie". Génial ! s'exclama t-elle en son fort intérieur. Elahy adorait la psychologie. Elle n'aurait pas été en difficulté scolaire, elle se serait surement tournée vers le métier de psychologue voir même de psychiatre. Elle a vite comprit qu'elle devait tirer un trait sur ce projet et s'est orienté vers un bac pro. Le premier qui lui était venu. Pour autant, elle ne demeurait pas moins intéressée par le sujet, car "le contact humain est affreusement intéressant". Dans contact humain, elle désignait toute la psychologie sociale, ou même solitaire parfois. 

Son regard s'était mit à vagabonder, tout pour ne pas regarder cette étudiante. Intérieurement, elle bouillonnait d'excitation et se promettait d'emprunter ce manuel une fois sûre que personne n'en avait besoin. Elle ne l'avait jamais vu et chercher auparavant mais l'allée ou c'était rendue Amalia était peut-être une mine d'or ! 

(Amalia et Elahy sont dans la même chambre :D j'ai constaté ça ce matin) 

(ah bon j'avais pas vue, et la psychopathologie est trés différente de la psychologie)

Amalia sentait une odeur familière  par la fenêtre, une odeur humide qu'elle connais trés bien, elle daigne dire quelques mots.

"une tempête approche"

Elle a peut être peur de sa propre espèce cela dit elle présente certains avantages, ayant finie d'écrire des notes sur le livre elle le range correctement et commence à sortir de la bibliothèque pour trouver un endroit sûr.

(Oui, c'est l'étude des troubles psychologiques, donc des troubles mentaux. C'est bien ce que traitent les psychiatre ? Enfin, ça touche quand même la psychologie et Elahy a juste fait un rapprochement avec ce qu'elle connaissait, de son côté. ) 

Elahy essaya deux trois phrases après le départ de cette étudiante mais le livre, à présent reposé paraissait l'appeler. Fini d'abord ce que tu as à faire. Ca sera ta récompense. se dit-elle pour essayer un semblant de motivation. Contre toute attente, cela parut marcher et l'étudiante put écrire quelques phrases et relire quelques cours. 

(pas vraiment car la psychopathologie est plutot dans un cadre criminel et donc cela ne concerne pas les psychiatres mais les profileurs)

Amalia vit l'étudiante prendre le livre qu'elle avait déposée précédemment et voyait qu'elle était pratiquement plongée dedans, seulement elle ne pourra pas en profiter état donné qu'une grosse tempête arrive. Il était temps de parler ne serais ce qu'un peu.

"Une tempête approche, mets toi à l'abri"

(ahhhh tu m'apprends un truc alors :D  je m'en vais me renseigner plus profondément alors.) 

Après ces quelques notes et relectures, Elahy ne tenait plus en place et était allée chercher ce fameux livre pour en apprendre plus. Une voix la fit sursauter. Secouée, elle se redressa vivement et regarda la jeune femme. Elle était revenue ? Ou elle était apparu subitement ? 

Après un petit temps de réaction, Elahy réussit à réécouter ses paroles une deuxième fois dans sa tête et hocha la tête. Elle regarda par la fenêtre. Voilà quelques jours qu'elle se souciait également de la météo. 

- Tu as raison…. mais…

elle interrompit sa phrase un cour instant. La bibliothèque n'était pas censée être un lieu sûr ? Peut-être pas en cas de grosses tempêtes. Cette fille avait surement raison. Elle referma le livre. 

- Oui tu as raison. Autant être prévoyantes. Je vais aller lire ça dans les dortoirs… 

Son lit était en plus bien plus confortable que cette chaise. Elle y trouverait bien plus son compte. 

- Je reviens. 

Elle se leva et se dirigea vers la bibliothèque pour savoir si ce livre pouvait être emprunter pendant quelques jours. Demande acceptée et notée, Elahy rejoignit Amalia et le glissa dans son sac.  

(va sur youtube et tape tu mourras moins bête"pervers narcissiques")

Amalia regarde longuement Elahy , visiblement elle adore lire des livres mais ça la surprend de voir qu'elle a emprunter un livre aussi difficile à comprendre. Maintenant qu'elle lui a parler à propos de la tempête que vas t'elle faire? Le plus important est de trouver un endroit ou s'abriter, le dortoir étant la meilleure option. Amalia fit signe à la jeune fille de la suivre en direction des dortoirs sans savoir où est sa chambre car on lui a pas fait la visite.

(Je pense ne plus avoir besoin de me documenter à propos des pervers narcissiques. J'ai assez fait mon compte à ce propos  Je ne pensais pas que psychopathologie se rapportait à eux. )

Elahy la suivit un instant sans bruis, marchant tranquillement à sa hauteur. Au final, le silence lui sembla devenir vite pesant. Puisque la parole avait été amorcée il y a peut, elle n'eut pas de mal à briser ce nouveau silence :

- Je suppose que nous nous rendons aux dortoirs ? Comment t'appelles-tu ? 

Au vu du chemin emprunté, elle avait osé espérer que cette nouvelle personne s'y rendait.