Quand on s'ennuit,faite confiance a Philiphie![Ouvert]

"Je suis une créature.Et toi Robin?"

Phi s'arrêta

Robin :

Le garçon s'arrête derrière elle.

-Créature aussi. Quoi comme créature ?

"Licorne"

William:

Enfin. La liberté. La sonnerie annoncant la fin des cours avait sonné comme une libération pour lui, surtout quand on doit se taper 2 heures avec une camarade de classe qui ne faisait que poser des questions. Au début, Willy était réticent à l'idée de se faire une nouvelle amie -il devait d'ailleurs penser à se faire des amis masculins, non parce que il avait un peu l'air nunuche- mais en fait, elle était vraiment insupportable.

C'est pour ça qu'il voulut acheter un truc à la boulangerie du coin, mais fut vite arrêté par...Des gens qui sautaient sur des carreaux. Il se lanca, souriant.

- Bonjour!

"Salut."dit Philiphie en marchant vers Will

(c'est quoi l'ordre?

et euh sinon tu pourrais faire un petit peu plus de ligne ? genre 2 ou 3 ;-; je sais que je suis relou mais c'est un peu chiant quand je fais un paragraphe et que vous répondez par 1 ligne)

(Bas la on est que deux mais sinon on fera:Moi,Charlieetlo et toi.Ok)

( Je suis d'accord avec l'ordre :3 )

Robin :

-Moi je suis mort, je suis un démon !

Mais quelle belle manière de présenter les choses. C'est pas tous les jours qu'on rencontre un démon innocent qui joue avec une jeune fille dans un couloir.

Le jeune garçon avança vers le nouveau venu en souriant.

-Salut ! Ca va ?

Deux nouveaux amis le même jour, c'est pas génial ? Robin commençait à se sentir bien ici. Les gens sont gentils, et tout et tout.

Tiens, d'ailleurs il commence à avoir faim le démon.

Phi sortit une barre chocolaté,elle l'ouvrit et la mangea

"Qui en veut?"demanda elle.

Elle tendit deux barre au garçons

Robin :

-Moi !

Il tendit la main et attrapa une barre chocolatée. Cette fille lisait-elle dans les pensées ? Ouah. Elle était trop forte.

Il se tourna ensuite vers le nouveau venu.

-Comment tu t'appelles ?

Ben oui, demander son nom à quelqu'un est la moindre des politesses. Au moins, après, on peut dire qu'on connait les gens.